LAPREVOTTE
Abréviations :
Ap = après Av = avant M = Mirecourt
o = né X = marié + = décédé
FO = facteur d'orgues. FS = facteur de serinettes FOS = facteur d’orgues et serinettes
L = luthier. Md = marchand. Ft d'I = fabricant d'instruments
FA = facteur d'archets. T = tourneur. FIV = fabricant d'instruments à vent
Bien entendu l'axe de nos recherches étant la facture instrumentale, les autres professions ne sont mentionnées qu'à titre indicatif, en lien, et de manière lacunaire.
Cette famille de marchand et de luthier est démesurée, n'oubliez pas de regarder la deuxième branche à droite de cette page. Il manque hélas un membre, Jean Nicolas, né en 1689 qui, s'il ne fut ni marchand ni luthier, fut connu par ses fonctions puisqu'il fut avocat à la cour. On ignore qui furent ses parents.
Seul Etienne, installé à Paris a laissé sa place dans la lutherie, par la qualité de son travail et les inventions étonnantes qu'il a réalisé (deux sont conservées au musée de Mirecourt). Il avait travaillé chez son oncle Jean-Baptiste, installé à Marseille, et s'était marié dans cette ville avant de s'installer à Paris ou il a eu du succès surtout pour ses guitares.
On trouve des femmes Laprévotte épousant des luthiers ou des marchands de violon comme Jean Claude Blaisot, François Martin, Désiré Joyeux, Georges Joseph Ruttinger, Jean Gayot, Sébastien Chevillot, Didier Mathieu ou François Poirot.
