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Conférence : "Collin-Mézin" |
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Collin-Mézin. La dynastie Collin-Mézin
Accès à la généalogie complète. Dès le début du 20e siècle, le papier à lettres et les publicités de la maison COLLIN-MEZIN, mentionnent la fondation de cet atelier en 1823 à Mirecourt, et en 1867 à Paris, et affirment une continuité de père en fils depuis cette première date. Cette assertion semble fantaisiste, car le premier luthier membre de cette famille, Claude Nicolas naît en 1817 et ne se marie à Odile MEZIN qu’en 1841. Toutefois, le père d’Odile MEZIN est dit luthier ou archetier de 1817 à 38 (il sera mentionné ensuite indifféremment comme rentier ou jardinier), on peut considérer que la maison MEZIN a pu effectivement démarrer en 1823.
Claude-Nicolas COLLIN.
Il naît à Mirecourt le 24 décembre 1817 de Jean-Baptiste, cordonnier à Mirecourt, et de Claudine COLLARD ou CALLARD, originaire du Mont-Cenis. Cette dernière meurt le 25 juin 1823 (il n’a pas encore 6 ans). Son père se remarie 6 mois plus tard à Marie Elisabeth CHOLE, originaire de Rambervillers. Il deviendra tour à tour agent de police municipale, puis concierge de la mairie. Sa tante, Marguerite Catherine COLLIN a épousé en 1798 Joseph Fourrier COUTURIEUX, marchand cirier et luthier de Mirecourt, devenant belle sœur de Jean-Claude CHEVRY de Bruxelles et de Jean-François BRETON. C’est probablement sous l’influence de cette famille COUTURIEUX, dont tous les membres se lancent dans la facture instrumentale que notre jeune Claude Nicolas épouse notre profession. Ses cousins COUTURIEUX plus âgés, sont déjà à l’établi et n’hésitent pas à s’expatrier de Mirecourt pour exercer leur art vers le sud de la France (Toulouse, Marseille, Montpellier, etc.). Claude Nicolas COLLIN fait son apprentissage à Mirecourt, ce pourraît-être chez BRETON, puis part à Bruxelles où il réside en 1837 au moment de son incorporation. Il est décrit comme de faible constitution, mesurant 1m 72. Le 25 janvier 1841, âgé de 24 ans, il épouse Odile MEZIN, tapissière née le 31 décembre 1818 à Mirecourt, et comme je l’ai mentionné précédemment fille de luthier. A leur mariage, les témoins sont deux policiers, collègue du père, un oncle d’Odile, et Claude Joseph PATENOTTE, facteur d’archets, oncle de la mariée qu’on trouve comme témoin dans tous les actes de la famille MEZIN. Si l’on étudie l’arbre généalogique de cette famille MEZIN, on constate qu’outre ce PATENOTTE facteur d’archet, parent, les deux tantes d’Odile ont épousé des luthiers : Marie Odile est épouse de Dominique BASTIEN, marchand d’instruments à Poussay, originaire de Marainville sur Madon, et Anne, épouse de François BERTRAND, Luthier né à Saint-Baslemont. L’environnement est propice. Claude Nicolas COLLIN s’installe à Mirecourt en 1841 et y exerce jusqu’à son décès le 27 juillet 1864. Il voyage beaucoup, et on note des passeports à son nom le 23 avril 1848 et le 18 décembre 1849 pour Paris, le 27 juillet 1851 pour Le Havre avec sa femme et sa nièce, le 30 mars 1853 seul, le 3 juillet 1855 avec sa femme et son fils, toujours pour Le Havre et le 13 septembre 1856, pour la même destination. On peut rencontrer des instruments de lui ou sa signature (Claude Nicolas COLLIN ou COLLIN-MEZIN) dans des violons d’autres luthiers comme Nicolas VUILLAUME (Sainte Cécile) ou Nicolas François VUILLLAUME de Bruxelles. Comme élèves, outre son fils, il faut noter Claude-Augustin MIREMONT, né en 1827 à Mirecourt, fils d’un luthier de cette ville qui s’installe comme chacun sait à Paris.
Charles Jean Baptiste COLLIN-MEZIN
Il naît à Mirecourt le 12 novembre 1841. Les témoins sont ses deux grands-pères. JB COLLIN est dit agent de police et tambour_major de la garde nationale, et Joseph MEZIN propriétaire vigneron. Au recensement de 1856, il a 15 ans et est dit apprenti luthier chez son père. On peut imaginer qu’il fut mis à l’établi très jeune, comme tout fils de luthier. Il habite à cette époque rue du champ de Mars chez ses parents. Le 8 septembre 1858, il part pour Paris (il a 17 ans, et c’est son père qui fait la demande de passeport), mais on ne sait chez qui il va. Il est de nouveau présent à Mirecourt 15 rue du Breuil pour ses vingt ans en 1861 (recensement et incorporation militaire), puis part chez Nicolas François VUILLAUME de Bruxelles, comme son père le fit avant lui. En 1864, il est de retour à Mirecourt où il épouse le 25 janvier Rose Félicité AUBERT, fille d’un teinturier de Meurthe-et-Moselle et de Félicité LENOBLE, originaire d’Haroué. Il demeure dans notre cité les deux années qui suivent. Est-ce sous l’influence de la famille VUILLAUME ? Plus sûrement celle de MIREMONT installé en 1860, qu’il part en 1867 à Paris et s’installe au 18 et 14 rue du Fg Poissonnière ou il reste jusqu’en 1876. C’est l’ancienne adresse de RAMBAUT qui est revenu passer ses vieux jours à Mirecourt, et le local est voisin de celui de l’ancien apprenti de son père, Claude Auguste MIREMONT. Les débuts sont difficiles si l’on en croit VIDAL (1889), mais il reçoit rapidement les témoignages d’estime des solistes SIVORI, MASSART, LEONARD, MAURIN, SAUZAY, FRANCHOMME, JACQUART, CHEVILLARD, MARSICK, TAYAU et même JOACHIM. C’est un très habile facteur, mais il est reconnu par tous comme un réparateur de premier ordre. Sa femme revient mourir à Mirecourt en 1875, son fils Charles Louis a 5 ans. Il sera élevé à Mirecourt par sa grand-mère MEZIN. Charles Jean-Baptiste se remarie à Paris avec Marie-Thérèse NIEU. Il déménage en 1876 au n° 10 et après 1891 au n° 29 de la même rue du Faubourg-Poissonnière. A l’exposition universelle de 1878, il reçoit une médaille d’argent pour le vernis et la sonorité de ses instruments. Paul BAILLY, délégué ouvrier de Mirecourt, écrit : « La vitrine de M. COLLIN MEZIN offre un très joli coup d’œil, son vernis est d’une entière réussite » plus bref, Auguste VOIRIN estime que : « Les instruments sont d’un beau rouge assez foncé en neuf ». A l’exposition de 1889 il reçoit le même prix, mais un accident causé par un vice de construction des bâtiments avait endommagé ses instruments. Il reçoit également la même année une médaille d’or dont nous reparlerons, ainsi qu’en 1879. En 1884, il est nommé officier d’Académie. En 1896 , il est présent à Mirecourt au mariage d’une nièce XELOT avec Mr RAGOT, futur père des luthiers Jean Maurice et Lucien André. Sa signature est à ce moment la célèbre « Collin Mézin ». En 1900, il obtient un grand prix à Paris, ce qui constitue la plus haute récompense. Mais la véritable consécration ne fut-elle pas déjà ce 2 août 1889, quand LABERTE HUMBERT dépose comme marque de fabrique, le nom de Jean-Baptiste COLIN, avec un seul L, qui permettra à son fils quelques années plus tard, d’écrire dans son catalogue : « méfiez-vous des contrefaçons ! » Charles Jean-Baptiste n’est pas un formateur, mais il emploie des ouvriers qui garderont l’empreinte de son style : Joseph CHIPOT dit Charles CHIPOT-VUILLAUME né en 1853, travaille chez lui après avoir fait son apprentissage chez DERAZEY. Paul Alexandre MANGENOT né en 1862, dit le Zon, élève de Paul BAILLY y travaille aussi après un séjour chez Joseph HEL. Enfin Gustave BAZIN né en 1871, élève de DARTE, puis ouvrier d’Emile LAURENT à Bruxelles y reste 3 ans (1889 à 1891), mais il est de loin celui qui garde le plus l’empreinte du maître. Charles Jean Baptiste meurt à Paris en 1923, âgé de 82 ans.
Charles Louis COLLIN-MEZIN
Durant toutes ces années de succès, son fils Charles Louis, né à Ambroise le 25 octobre 1870, demeure à Mirecourt. Les recensements s’effectuant tous les 5 ans, on le suit enfant quai Barbacane, chez sa grand-mère MEZIN ; Adolescent rue de l’hôtel de ville (il est dit luthier à 16 ans en 1886) ; jeune homme en 96, (déjà rue Germini). On le retrouve à son mariage le 31 septembre 1898, avec Madeleine BASTIAN, fille d’un marchand de mode du Luxembourg, et encore au décès de sa grand-mère nourricière en 1901. Revenons à son mariage. Les témoins en sont Paul Alexandre MANGENOT, et Paul Victor LORANGE, ouvrier du précédent en cette année 1896. On peut penser que Charles Louis travaille cette année-là avec Paul MANGENOT de qui il semble très proche, et qui je le rappelle est un ancien ouvrier de son père. Quand travaille-t-il avec son père ?. Albert JACQUOT dit qu’il voyagea beaucoup. Quand va-t-il aux USA ? De toute façon, peu de temps, et c’est peut-être là la clef du manque de continuité dans le travail de cette famille. En 1901, il s’installe à Mirecourt, fort d’un prix de collaborateur de son père à l’exposition universelle de 1900. Jacquot écrit : «Il eut, dès ses premiers débuts, des aptitudes particulières pour la lutherie et contribua pour une large part aux Expositions universelles de 1889 et de 1900. Les instruments exposés à Paris en 1900 furent construits par lui-même, son père s'étant spécialisé dans la pratique des vernis. On peut dire que le Grand Prix obtenu par cette maison revient en partie à M. Collin-Mézin fils, pour l'excellente fabrication et la coupe heureuse de ses instruments. ». En tous cas, à partir de 1906, la maison COLLIN-MEZIN est indiquée dans les annuaires soit exclusivement à Mirecourt, soit à Mirecourt et Paris, mais on stipule qu’il faut passer les commandes à l’adresse de la cité vosgienne. Personnellement, même si l’on rencontre des instruments de Charles Jean-Baptiste postérieurs à 1901 (1903 par exemple), je pense que celui-ci fut précurseur de la retraite à 60 ans. Son fils hérite de ses modèles qu’il utilise de 1901 au décès de son père en 1923 à Paris. Le vernis des débuts, s’il est proche, n’est pas si dense en couleur, et l’usure y est moins heureuse que celle de Charles Jean-Baptiste. Charles Louis est nommé officier d'Académie en 1911 et membre de la Chambre de Commerce. Ce doit être une très forte personnalité, au travers de son activité, et de ses publicités, où il ne s’embarrasse guère de scrupules. (Il est maître luthier expert, son vernis est celui des anciens maîtres de Crémone, les bois ont 200 à 300 ans, les épaisseurs sont au 1/10000ème , etc. etc.) Le catalogue de 1912 fait totalement l’amalgame entre Charles Louis et son père pour les récompenses obtenues et les attestations d’artistes. Mais surtout apparaissent sur la couverture deux médailles d’or, Paris 1878 (en plus de la médaille d’argent obtenue par le père), et Paris 1879, alors qu’il n’y eut pas d’exposition nationale ou universelle cette année-là ?. Un examen des médailles à la loupe indique pour celle de 78 « expo des sciences appliquées et de l’industrie », et pour celle de 79 « encouragement aux industries agricoles ». On comprend que son père ne l’ait pas utilisée pour sa publicité !. Cette même année 1912, il envoie un tel curriculum vitae à JACQUOT que celui-ci écrit dans sa notice : « D'après le présent travail, il est aisé de voir que cette famille est fort ancienne dans la pratique de la lutherie en Lorraine, et le dernier fils de M. Charles Collin-Mézin montre déjà des dispositions pour cet art, ce qui fait augurer que cette tradition est loin de vouloir disparaître » hors le petit Charles Jean-Baptiste Léon, qu’on appellera Charley et qui montre déjà des dispositions a… deux ans. L’expansion de l’atelier mirecurtien est rapide : En 1906, il compte 5 personnes : Louis et Emile BERTRAND, deux frères, Charles BOULANGER et Emile FREBINET, sous la direction de Charles COLLIN MEZIN, 36 ans En 1911 : 7 personnes : Victor et André AUDINOT (pas de la même famille), Albert BAUBILLIER qui travaillera ensuite chez Léon BERNARDEL, toujours Emile BERTRAND, Georges LOTTE sous la direction de Charles COLLIN MEZIN, avec Marie, sa sœur aînée, dite Luthier, et Charles-Emile HEL, jardinier. Deux ans plus tard en 1913, l’atelier aura comme apprenti André François CONE, qui obtient le 3e prix jeune au concours d’apprenti, et 100 francs de prime. En 1921, l’atelier se relève de la guerre. Nous trouvons Eugène BOULANGER, Paul CHIPOT, fils de CHIPOT-VUILLAUME qui s’installera à Vendôme, Georges LOTTE, cité en 1911, Marie et Charles COLLIN. En 1926 : 8 personnes : Paul AUDINOT, Jules-François EULRY, marié à une fille de CHIPOT-VUILLAUME, et leurs deux fils, René-Henry et Charles-François, toujours Georges LOTTE, qui pointera au chômage la même année et partira chez LABERTE , Marie COLLIN, Charles COLLIN MEZIN et son fils, lui aussi prénommé Charles. En 1931 : 8 personnes : Les Charles COLLIN MEZIN père et fils, Jules-François EULRY, contremaître qui restera jusqu’en 1953 et faisait 2 violons ou 1 violoncelle par semaine ; ses fils René-Henry et Charles-François, Ernest-Féréol JEANDEL, Jean LARCHER, (qui a épousé le 30 mai 1925 Marie Louise, fille cadette de Charles Louis) et bien sûr Georges LOTTE. L’atelier aurait compté jusqu’à une quinzaine de personnes, mais y compris je pense les ouvriers à domicile. Entre 1926 et 1931, Jean LARCHER, ingénieur de formation, initié par son beau-père au métier de luthier, prend progressivement la direction de l’atelier. Cela permet à Charles Louis de voyager, de jouer les représentants de sa maison, tant en France qu’à l’étranger. (Amérique en particulier) En 1927, Charles Louis marie sa fille aînée Anne Marie Thérèse à Louis désiré JEANDEL, fabricant de chevalets. Cet atelier, qui a déjà déposé des marques de fabrique dès 1919 et en utilise de nombreuses (Paolo GIACOMELLI, G SANTORINO, STORINI, B TASSINI, ainsi que toutes les étiquettes de modèles les plus illustres), dépose le 30 décembre 1926 un brevet d’invention pour le violon modèle VIBROTYPE, qui deviendra le modèle VICTORIEUX, caractérisé par une voûte plate d’une ouie à l’autre, d’une sonorité puissante recherchée à l’époque, mais à coup sûr passée de mode aujourd’hui. Le 8 janvier 1934, Charles Louis COLLIN-MEZIN s’éteint à Mirecourt des suites d’un accident de la route à Velotte.
Charles Jean-Baptiste Léon dit Charley
Il naît le 7 juin 1910 à Mirecourt. En 1926 lui aussi est à l’établi pour ses 16 ans, auprès de son père. Il ne semble pas avoir connu d’autre atelier, et doit assurer la succession un peu tôt, certainement sous la tutelle de Jean LARCHER. Le 2 décembre 1935, il épouse Marie Thérèse Marcelle BERTIN, originaire du Mans. En 1936, l’atelier compte toujours 8 personnes : Paul AUDINOT, Jules-François et René EULRY, Emile JEANDAT, Ernest JEANDEL et Charles TETERTIENNE sous la direction du jeune Charles, et de Henry-Jean LARCHER Cette même année ou la suivante, édition de deux nouveaux catalogues semblables aux précédents, qui donnent l’impression que ni Charles Jean-Baptiste, ni Charles Louis ne sont morts ! Les étiquettes sont toujours les mêmes, mais des instruments au nom de LARCHER apparaissent dans cette édition. Dans un des deux, on trouve de nouveau des attestations d’artistes, mais cette fois correspondant à des clients récents de la maison, moins illustres que dans le catalogue de 1912. En 1939, M. LARCHER est élu président du syndicat des artisans de la lutherie artistique Française de Mirecourt, succédant à M. APPARUT. La période est troublée Les artisans mirecurtiens créent une coopérative d’approvisionnement. En 1940, G APPARUT reprend la présidence. Mr LARCHER en sera secrétaire général en 1941, puis de nouveau président en 1945. Cela montre l’investissement de cet homme pour la défense de sa profession L’exportation est toujours importante, et l’on trouve des instruments à ce nom dans divers catalogues de vente étrangers, comme par exemple celui de la maison FISCHER de New York, postérieur à 1944. Outre les prix obtenus au 19eme siècle par Ch. JB de Paris, apparaît la mention d’un Grand prix de Lorraine à Nancy en 1944 De nombreux apprentis furent formés rue Germini, mais peu poursuivirent la carrière. Parmi ceux-ci : en 1948-49 : Michel LOTTE qui reprendra un temps une fabrication d’étuis dans le cadre du CHS de Ravenel ; en 1951 : Pierre MAULEVRANT, Michel GRANGER, Robert GODARD, André PUAUD, Jean DELPRATO , mais aussi Henri MILLER vers 1930, qui s’installera à Poussay en 1942, et Jules ROBELUS dans les années 40. Cette même année 1951, la maison est hors concours et membre du jury à l’exposition artisanale d’Epinal, mais la crise s’aggrave et LARCHER quitte la maison à 50 ans. Il mourra à Orléans le 9 août 1978. Au recensement de 1954, il reste 3 personnes : Charles COLLIN MEZIN, Robert BAUMAN spécialiste des violoncelles et surtout des contrebasses, et Eugène GUINOT. En décembre de cette année 1954, un article paraît dans le journal local, où Charley prédit que la lutherie d’art COLLIN-MEZIN disparaîtra avec lui. Cet article conforte les erreurs habituelles : les trois dernières générations auraient le même prénom, la lutherie dans la famille remonte même maintenant à 1744, etc..) Comme salariés extérieurs, il faut bien sûr citer Jean DELIGNON pour les manches, qui fut apprenti de la maison et Louis VIGNERON dit le Zico pour le vernissage. Le débit de bois était effectué par André DUFOUR, qui travailla aussi pour les maisons THIBOUVILLE et LABERTE. La maison COLLIN MEZIN ferme ses portes en 1960. Eugène GUINOT prendra sa retraite officielle à cette occasion. Charles Jean Baptiste Léon, dit Charley meurt dans les Pyrénées le 9 novembre 1987.
Vous pouvez aussi consulter l'intégralité de la généalogie de cette famille. ainsi que les catalogues de 1912 et de 1936 |